Espèces sauvages de salmonidés

Les salmonidés sauvages, tels que le saumon rose et le saumon sockeye, sont identifiés comme étant parmi les fruits de mer les plus nutritifs et les moins intensifs en carbone.

Petites espèces sauvages de poissons fourrages

Cette catégorie inclut des espèces comme le maquereau et les anchois, reconnues pour leur haute densité nutritionnelle et leurs faibles émissions de gaz à effet de serre par rapport à leur densité nutritionnelle.

Bivalves d’élevage

Les moules et les huîtres d’élevage sont également mises en avant pour leur apport nutritionnel élevé et leur faible impact environnemental.

Ces espèces représentent 35 % de la densité nutritionnelle disponible tout en ne contribuant qu’à 6 % des émissions de gaz à effet de serre liées à la production parmi toutes les espèces évaluées.

Espèces moins écologiques et moins nutritives

Poulpe, calmar, thon et crevettes

Ces espèces sont parmi celles ayant les profils d’émissions les plus élevés et se situent souvent à l’extrémité inférieure de l’échelle nutritionnelle.

Colin et merlu

Souvent classés comme « poissons blancs », ces espèces ont certains des scores nutritionnels les plus bas.

Conclusion

L’étude met en lumière le potentiel de réorienter la production et la consommation de fruits de mer vers des espèces qui optimisent la nutrition tout en minimisant les émissions de gaz à effet de serre. Cela pourrait transformer de manière significative notre approche de la durabilité alimentaire.